Bibliothèque du Centre de Recherche sur l'Habitat
Détail d'une collection
|
Documents disponibles dans la collection (3)
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche Interroger des sources externes
Le champignon de la fin du monde : sur la possibilité de vivre dans les ruines du capitalisme / Anna Lowenhaupt Tsing
Titre : Le champignon de la fin du monde : sur la possibilité de vivre dans les ruines du capitalisme Type de document : texte imprimé Auteurs : Anna Lowenhaupt Tsing, Auteur ; Philippe Pignarre, Traducteur ; Stengers, Isabelle, Préfacier, etc. Editeur : Paris : La Découverte Année de publication : 2017 Collection : Les Empêcheurs de penser en rond, ISSN 1151-6461 Importance : 1 vol. (415 p.) : ill., couv. ill. en coul. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35925-136-4 Note générale : Titre original : The mushroom at the end of the world : on the possibility of life in capitalist ruins. - cop. 2015 Langues : Français (fre) Mots-clés : Écologie humaine Développement économique -- Aspect environnemental Pollution Capitalisme Résumé :
Ce n’est pas seulement dans les pays ravagés par la guerre qu’il faut apprendre à vivre dans les ruines. Car les ruines se rapprochent et nous enserrent de toute part, des sites industriels aux paysages naturels dévastés. Mais l’erreur serait de croire que l’on se contente d’y survivre. Dans les ruines prolifèrent en effet de nouveaux mondes qu’Anna Tsing a choisi d’explorer en suivant l’odyssée étonnante d’un mystérieux champignon qui ne pousse que dans les forêts détruites. Suivre les matsutakes, c’est s’intéresser aux cueilleurs de l’Oregon, ces travailleurs précaires, vétérans des guerres américaines, immigrés sans papiers, qui vendent chaque soir les champignons ramassés le jour et qui termineront comme des produits de luxe sur les étals des épiceries fines japonaises. Chemin faisant, on comprend pourquoi la « précarité » n’est pas seulement un terme décrivant la condition des cueilleurs sans emploi stable mais un concept pour penser le monde qui nous est imposé. Suivre les matsutakes, c’est apporter un éclairage nouveau sur la manière dont le capitalisme s’est inventé comme mode d’exploitation et dont il ravage aujourd’hui la planète. Suivre les matsutakes, c’est aussi une nouvelle manière de faire de la biologie : les champignons sont une espèce très particulière qui bouscule les fondements des sciences du vivant. Les matsutakes ne sont donc pas un prétexte ou une métaphore, ils sont le support surprenant d’une leçon d’optimisme dans un monde désespérant. (4e de couverture)Le champignon de la fin du monde : sur la possibilité de vivre dans les ruines du capitalisme [texte imprimé] / Anna Lowenhaupt Tsing, Auteur ; Philippe Pignarre, Traducteur ; Stengers, Isabelle, Préfacier, etc. . - Paris : La Découverte, 2017 . - 1 vol. (415 p.) : ill., couv. ill. en coul. ; 21 cm. - (Les Empêcheurs de penser en rond, ISSN 1151-6461) .
ISBN : 978-2-35925-136-4
Titre original : The mushroom at the end of the world : on the possibility of life in capitalist ruins. - cop. 2015
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Écologie humaine Développement économique -- Aspect environnemental Pollution Capitalisme Résumé :
Ce n’est pas seulement dans les pays ravagés par la guerre qu’il faut apprendre à vivre dans les ruines. Car les ruines se rapprochent et nous enserrent de toute part, des sites industriels aux paysages naturels dévastés. Mais l’erreur serait de croire que l’on se contente d’y survivre. Dans les ruines prolifèrent en effet de nouveaux mondes qu’Anna Tsing a choisi d’explorer en suivant l’odyssée étonnante d’un mystérieux champignon qui ne pousse que dans les forêts détruites. Suivre les matsutakes, c’est s’intéresser aux cueilleurs de l’Oregon, ces travailleurs précaires, vétérans des guerres américaines, immigrés sans papiers, qui vendent chaque soir les champignons ramassés le jour et qui termineront comme des produits de luxe sur les étals des épiceries fines japonaises. Chemin faisant, on comprend pourquoi la « précarité » n’est pas seulement un terme décrivant la condition des cueilleurs sans emploi stable mais un concept pour penser le monde qui nous est imposé. Suivre les matsutakes, c’est apporter un éclairage nouveau sur la manière dont le capitalisme s’est inventé comme mode d’exploitation et dont il ravage aujourd’hui la planète. Suivre les matsutakes, c’est aussi une nouvelle manière de faire de la biologie : les champignons sont une espèce très particulière qui bouscule les fondements des sciences du vivant. Les matsutakes ne sont donc pas un prétexte ou une métaphore, ils sont le support surprenant d’une leçon d’optimisme dans un monde désespérant. (4e de couverture)Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 100510 NB TSI Livre Bibliothèque principale Principale Disponible Les faiseuses d'histoires : que font les femmes à la pensée ? / Vinciane Despret
Titre : Les faiseuses d'histoires : que font les femmes à la pensée ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Vinciane Despret, Auteur ; Stengers, Isabelle, Auteur Editeur : Paris : La Découverte Année de publication : 2011 Collection : Les Empêcheurs de penser en rond, ISSN 1151-6461 Importance : 1 vol. (205 p.) : ill., couv. ill. Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-35925-047-3 Langues : Français (fre) Mots-clés : Woolf, Virginia (1882-1941). Three guineas Études sur les femmes Éducation des femmes Femmes professeurs (enseignement supérieur) Femmes chercheurs Intellectuelles Discrimination sexuelle dans l'emploi Rôle selon le sexe au travail Féminisme Résumé :
Les femmes ne sont jamais contentes. À témoin, Virginia Woolf qui appela les femmes à se méfier de l'offre généreuse qui leur était faite : pouvoir, comme les hommes, faire carrière à l'université. Il ne faut pas, écrivit-elle, rejoindre cette « procession d'hommes chargés d'honneurs et de responsabilités » ; méfiez-vous de ces institutions où règnent le conformisme et la violence. Vinciane Despret et Isabelle Stengers se sont posés la question : qu'avons-nous appris, nous les filles infidèles de Virginia qui avons, de fait, rejoint les rangs des « hommes cultivés » ? Et comment prolonger aujourd'hui le cri de Woolf, « Penser nous devons », dans une université désormais en crise ? Ces questions, elles les ont relayées auprès d'autres femmes. Leurs témoignages ont ouvert des dimensions inattendues. Elles ont raconté des anecdotes, des perplexités, des histoires, des événements ou des rencontres qui les ont rendues capables non seulement de dire non et de résister, mais de continuer à penser et à créer dans la joie et dans l'humour. Et surtout, ces femmes, comme toujours, ont fait des histoires... (4e de couverture)Note de contenu : Notes bibliographiques en bas de page Les faiseuses d'histoires : que font les femmes à la pensée ? [texte imprimé] / Vinciane Despret, Auteur ; Stengers, Isabelle, Auteur . - Paris : La Découverte, 2011 . - 1 vol. (205 p.) : ill., couv. ill. ; 19 cm. - (Les Empêcheurs de penser en rond, ISSN 1151-6461) .
ISBN : 978-2-35925-047-3
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Woolf, Virginia (1882-1941). Three guineas Études sur les femmes Éducation des femmes Femmes professeurs (enseignement supérieur) Femmes chercheurs Intellectuelles Discrimination sexuelle dans l'emploi Rôle selon le sexe au travail Féminisme Résumé :
Les femmes ne sont jamais contentes. À témoin, Virginia Woolf qui appela les femmes à se méfier de l'offre généreuse qui leur était faite : pouvoir, comme les hommes, faire carrière à l'université. Il ne faut pas, écrivit-elle, rejoindre cette « procession d'hommes chargés d'honneurs et de responsabilités » ; méfiez-vous de ces institutions où règnent le conformisme et la violence. Vinciane Despret et Isabelle Stengers se sont posés la question : qu'avons-nous appris, nous les filles infidèles de Virginia qui avons, de fait, rejoint les rangs des « hommes cultivés » ? Et comment prolonger aujourd'hui le cri de Woolf, « Penser nous devons », dans une université désormais en crise ? Ces questions, elles les ont relayées auprès d'autres femmes. Leurs témoignages ont ouvert des dimensions inattendues. Elles ont raconté des anecdotes, des perplexités, des histoires, des événements ou des rencontres qui les ont rendues capables non seulement de dire non et de résister, mais de continuer à penser et à créer dans la joie et dans l'humour. Et surtout, ces femmes, comme toujours, ont fait des histoires... (4e de couverture)Note de contenu : Notes bibliographiques en bas de page Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 100511 BL DES Livre Bibliothèque principale Principale Disponible Quand les plantes n'en font qu'à leur tête : concevoir un monde sans production ni économie / Dusan Kazic
Titre : Quand les plantes n'en font qu'à leur tête : concevoir un monde sans production ni économie Type de document : texte imprimé Auteurs : Dusan Kazic, Auteur ; Fondation de France, Bailleur de fonds (obsolète) Editeur : Paris : La Découverte Année de publication : 2022 Collection : Les Empêcheurs de penser en rond, ISSN 1151-6461 Importance : 1 vol. (386 p.) : ill., couv. ill. Format : 21 cm Note générale : Note sur le financement : Fondation de France (Ecosystèmes, agricultures et alimentations, 2014) Langues : Français (fre) Mots-clés : Relations homme-plante Conservation des ressources agricoles Agriculteurs -- France -- 1990-2020 Agriculture -- Productivité -- Lutte contre Résumé :
Partons à la découverte de fraises, de tomates – jamais hors-sol –, de choux, d'herbes aromatiques, de plantes d'agrément… qui obligent leurs partenaires humains à respecter leurs exigences pour grandir et prospérer. Les paysans et paysannes avec lesquels l'auteur va désherber, cueillir ou rempoter ne parlent jamais des rapports qu'ils entretiennent avec leurs plantes en termes de « production ». Dusan Kazic nous initie à leurs côtés à un monde où se tissent des liens qui donnent naissance à des familles multispécifiques. Les plantes ne sont pas (que) des êtres mangeables, mais des maîtres d'apprentissage, des êtres d'amour, des êtres de travail, des êtres de jeux, des êtres qui parlent à leur manière. Écoutons ces histoires que l'auteur raconte avec passion ! Les paysans « animent » les plantes en tissant avec elles des liens sensibles qu'elles et ils cultivent en agriculture biologique, en conventionnelle, ou encore en agriculture « raisonnée ». Si l'on veut éviter que les terres ne tombent définitivement en ruine, chercher à « produire autrement » ne suffit pas. Il ne s'agit pas d'arrêter de nourrir les humains mais de commencer à penser une agriculture au travers des rapports coévolutifs que les humains entretiennent avec les plantes, une agriculture des relations. Dans l'héritage de Pierre Clastres, James Scott et Donna Haraway, l'auteur propose de rompre avec le paradigme de la production issu du savoir économique, qui mène à la destruction des paysans et de cette Terre, pour concevoir une agriculture et plus largement un monde sans production et sans économie. (4e de couverture)Quand les plantes n'en font qu'à leur tête : concevoir un monde sans production ni économie [texte imprimé] / Dusan Kazic, Auteur ; Fondation de France, Bailleur de fonds (obsolète) . - Paris : La Découverte, 2022 . - 1 vol. (386 p.) : ill., couv. ill. ; 21 cm. - (Les Empêcheurs de penser en rond, ISSN 1151-6461) .
Note sur le financement : Fondation de France (Ecosystèmes, agricultures et alimentations, 2014)
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Relations homme-plante Conservation des ressources agricoles Agriculteurs -- France -- 1990-2020 Agriculture -- Productivité -- Lutte contre Résumé :
Partons à la découverte de fraises, de tomates – jamais hors-sol –, de choux, d'herbes aromatiques, de plantes d'agrément… qui obligent leurs partenaires humains à respecter leurs exigences pour grandir et prospérer. Les paysans et paysannes avec lesquels l'auteur va désherber, cueillir ou rempoter ne parlent jamais des rapports qu'ils entretiennent avec leurs plantes en termes de « production ». Dusan Kazic nous initie à leurs côtés à un monde où se tissent des liens qui donnent naissance à des familles multispécifiques. Les plantes ne sont pas (que) des êtres mangeables, mais des maîtres d'apprentissage, des êtres d'amour, des êtres de travail, des êtres de jeux, des êtres qui parlent à leur manière. Écoutons ces histoires que l'auteur raconte avec passion ! Les paysans « animent » les plantes en tissant avec elles des liens sensibles qu'elles et ils cultivent en agriculture biologique, en conventionnelle, ou encore en agriculture « raisonnée ». Si l'on veut éviter que les terres ne tombent définitivement en ruine, chercher à « produire autrement » ne suffit pas. Il ne s'agit pas d'arrêter de nourrir les humains mais de commencer à penser une agriculture au travers des rapports coévolutifs que les humains entretiennent avec les plantes, une agriculture des relations. Dans l'héritage de Pierre Clastres, James Scott et Donna Haraway, l'auteur propose de rompre avec le paradigme de la production issu du savoir économique, qui mène à la destruction des paysans et de cette Terre, pour concevoir une agriculture et plus largement un monde sans production et sans économie. (4e de couverture)Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 100512 NB KAZ Livre Bibliothèque principale Principale Disponible