Titre : |
Le commun des mortelles : faire face au féminicide |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Margot Giacinti, Auteur |
Editeur : |
Quimperlé : Éditions Divergences |
Année de publication : |
DL 2025 |
Importance : |
1 volume (206 pages) |
Format : |
20 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
979-10-97088-79-8 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Féminicide Femmes -- Conditions sociales Féminisme -- Aspect politique Violence envers les femmes |
Résumé : |
Les meurtres de femmes parce qu’elles sont des femmes, autrement dit les féminicides, ont une histoire trop longue. Plusieurs générations de féministes, depuis la fin du XIXe siècle, ont dénoncé à leur façon le caractère genré de ces phénomènes. C’est d’abord à elles que cet ouvrage rend hommage en retraçant leurs combats et leur pensée. C’est ensuite à l’expérience des victimes qu’il s’intéresse. Loin de subir passivement ces formes extrêmes de la domination masculine, celles-ci se sont souvent efforcées de dénoncer, de résister, d’agir contre leurs agresseurs. L’examen des archives (policières, judiciaires, médiatiques) met en lumière, de la Révolution française à aujourd’hui, des centres-villes aux campagnes, des classes bourgeoises aux classes laborieuses, des relations intimes aux meurtres crapuleux, les grands traits d’un fait social tristement structurel. |
Le commun des mortelles : faire face au féminicide [texte imprimé] / Margot Giacinti, Auteur . - Quimperlé : Éditions Divergences, DL 2025 . - 1 volume (206 pages) ; 20 cm. ISBN : 979-10-97088-79-8 Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
Féminicide Femmes -- Conditions sociales Féminisme -- Aspect politique Violence envers les femmes |
Résumé : |
Les meurtres de femmes parce qu’elles sont des femmes, autrement dit les féminicides, ont une histoire trop longue. Plusieurs générations de féministes, depuis la fin du XIXe siècle, ont dénoncé à leur façon le caractère genré de ces phénomènes. C’est d’abord à elles que cet ouvrage rend hommage en retraçant leurs combats et leur pensée. C’est ensuite à l’expérience des victimes qu’il s’intéresse. Loin de subir passivement ces formes extrêmes de la domination masculine, celles-ci se sont souvent efforcées de dénoncer, de résister, d’agir contre leurs agresseurs. L’examen des archives (policières, judiciaires, médiatiques) met en lumière, de la Révolution française à aujourd’hui, des centres-villes aux campagnes, des classes bourgeoises aux classes laborieuses, des relations intimes aux meurtres crapuleux, les grands traits d’un fait social tristement structurel. |
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